BACKGROUND

Je me nomme Boruk Martelhammer de Kharanos et je vais vous raconter une partie de mon histoire....

Dès mon plus jeune age je suivis une éducation militaire car c'est mon père Fili Martelhammer qui faisait partie de la garde de Kharanos, qui s'occupa de moi à la mort de ma mère. Jusqu'à l'age adulte je l'ai suivi dans toute ses aventures quand un jour il me dit : Mon fils, il est temps pour toi de vivre ta vie. Je vais te confier le code d'honneur de notre famille. Tu te dois de suivre ce serment quoi qu'il en coûte !

"Soit sans peur en face de tes ennemis.
Soit brave et droit pour être aimé de dieu.
Dis toujours la vérité même si cela doit te couter la vie.
Sauvegarde les faibles et garde toi tu mal.
Tel est ton serment et ceci pour ne pa l'oublier."

Il me mit une gifle pour terminer le serment.

Part maintenant et ne te retourne pas !
FORCE et HONNEUR mon fils !

Je suis parti pendant plusieurs jours, j'étais seul et blessé par un ours quelques temps auparavant. Une nuit, j'entendis une meute de loups s'approcher de moi. Surement attirée par l'odeur du sang. Je ne pourrai pas survivre à celà mais je me battrai.
Les loups étaient devant moi, je voyais déjà ma mort quand un nain en armure arriva et fendit plusieurs cranes de ces bêtes sauvages. Les loups restant prirent la fuite.

Cette homme s'appellait Bénomite, il me soigna et m'invita à le rejoindre lui et ses amis. Il dirige la guilde des Loups d'Ironforge. Tout le monde m'accueillit chaleureusement et depuis ils sont ma nouvelle famille. Je parcourus des terres dont j'ignorais l'existence avec Bénomite le paladin, Auran la magicienne humaine, Sverinna la paladine naine, Thorghen le chasseur nain, Terkael et bien d'autres encore dans des aventures palpitantes comme la fois ou nous étions a Gnomeregan, mais ceci est une autre histoire....

Je me nomme Sverinna… mais mon nom importe peu. J’étais autrefois l’apprentie du père eldouïn qui parcourait avec moi et quelques autres disciples les royaumes de l’est afin d’y apporter la lumière.

Je me souviens de ce jour où nous sommes arrivés dans la forêt des pins argentés. Le père eldouïn souhaitait vérifier si les rumeurs sur le donjon d’ombrecroc étaient fondées. Le déluge s’abattait sur nous, le ciel était sombre et orageux. C’est alors qu’on aperçut deux hommes en train de creuser au milieu de la forêt. Intrigué par cela, le père eldouïn s’avança vers eux pour leur demander ce qu’ils cherchaient. Avant même qu’ils eurent répondu il comprit qu’il s’agissait d’une tombe malgré le fait que rien ne permettait de le savoir, aucune pierre tombale n’était présente.

Il essaya de les dissuader de faire cela mais sans grand succès. Malgré cela nous sommes restés afin de prier pour éviter d’attirer les ténèbres sur de tels actes.

C’est alors que les profanateurs s’arrêtèrent de creuser quand ils aperçurent un corps pâle en décomposition. Ce devait être un ancien chevalier car il portait son armure ainsi que son arme. Au moment de se baisser pour voler son arme, le cadavre agrippa l’un de ces hommes et lui brisa la nuque avec une facilité déconcertante. Il sortit immédiatement de cette tombe et décapita l’autre complice.

Il se tourna ensuite vers nous…le père eldouïn nous donna les consignes des prières à suivre et commenca lui-même à psalmodier pour exorciser cet être démoniaque. Mais il était trop tard…à peine avait il commencé que ce chevalier avait déjà transpercé le cœur du père. Sans perdre de temps il s’en prit aux autres disciples, les découpant et dévorant leurs chairs comme pour se nourrir. J’étais pétrifié de peur lorsqu’il se tourna, son regard vide et sombre posé sur moi. Il s’avança et à ma grande surprise me parla dans un langage humain avec une certaine difficulté : « Horls l’empaleur est de retour ». Puis il repartit en laissant échapper un rire démoniaque qui me glaça le sang. Pourquoi ne m’avait-il pas tué…sur le coup je n’arrivais pas à l’expliquer mais c’est après que je l’ai compris, il voulait que d’autres sachent qu’il était de retour et pour le faire savoir quoi de mieux que de laisser une personne en vie derrière ses massacres.

Ma vie et mon destin changèrent ce jour là. Je décidai de me dédier à l’ordre des paladins et fis le vœu de n’avoir aucun repos tant que le mal foulerait le sol de nos terres…et quand Horls retournera sous terre…

Je suis Thorghen, fils de Grim, je suis chasseur des Loups d'Ironforge et voici mon histoire.....

Je suis né sur la route de Kharanos, mon père était Grim, guerrier de Forgefer et ma mere Galaîde morte pendant une attaque de hordeux dans notre village!
J'ai été élevé dans l'honneur et la force, mon père me racontait ses aventures et ses combats, puis le jour de mes 20 ans nains il partit à la demande de Forgefer en terre hordeuse , mais il ne revint pas!
Je me suis élevé seul , par la suite accompagné de mon fidèle ami Neirda puis un jour d'automne je rencontre sur mon chemin un guerrier nommé Boruk et qui s'avère etre mon petit frère, puis ce fut Benomite le paladin qui par la suite créa la guilde des Loups d'Ironforge, dans laquelle il me demanda d'en faire partie, donc je suis dans la guilde depuis le début!
Voila maintenant je suis en quete pour etre aussi fort que mon père et venger sa mort ainsi que celle de ma mère contre les hordeux!

Thorghen et son loup Neirda!

Mon nom Aryelle,

Je crois que je suis née au sud de Darnassus.
Mes parents m'ont abandonnée après qu'une diseuse de bonnes aventures leur ait dit que je trahirai les miens pour la horde.

J'ai alors été confiée à l'orphelinat de Hurlevent. Vers dix ans je fus adoptée par des humains, les Grelous qui avaient dejà une fille promise à un grand avenir dans le domaine de la magie: Horcantha (et oui cette mage blonde un peu idiote est ma soeur adoptive). Ils m'offrirent tout leur amour jusqu'à ce que le moment vienne pour moi de choisir ma destinée.
J'avais dejà quelques dons pour les soins: il parut donc logique à tout le monde de faire de moi une pretresse. J'entrai donc très rapidement dans la guilde de maitre Seigvard: le cercle de Sombrelune. Hèlas l'aventure tourna rapidement au vinaigre.

Je joignai alors l'aventure des Los Vatos Locos. Mais mon évolution est lente et laborieuse. Soyons clairs, j'ai eu du mal à faire mes armes !!! Je passais de guilde en guilde, des Los Vatos Locos aux Ombres Silencieuses sans trouver de repères. Je me liai des amitiés mais ma peur de l'abandon du à ce traumatisme de l'enfance m'empecha de me fixer définitivement. Je réussis pourtant à trouver l'amour en un voleur du Clan des Deux Astres: Drfollet, mais qui sait s'il ne va pas m'abandonner non plus...

Après tant d'errance j'optai donc pour une vie sans guilde, sans attache, mais voilà, monsieur Elfyssio en a decidé tout autrement et un soir alors que mon fiancé et moi étions à Ironforge pour affaires, je fus abordée par un druide qui me tint ce discours: "Bonsoir Aryelle voulez vous joindre ma guilde". Je fus surprise et au début je n'étais pas sure de vouloir etre à nouveau déçue par une guilde, mais il se montra convaincant et...me voici devenue un loup d'Ironforge. Combien de temps cela durera?? Je me le demande compte tenu de ma difficulté à m'engager, espérons que j'apprenne avec cette bande de joyeux drilles.

Je me nomme Demonisia fille de mère démoniste et de père guerrier tous 2 ingénieurs, mes parents mon élevée tous les deux à l'est de la vallée des frigères. A l'age de 14 ans mes parents sont partis à la frontière des terres hordeuses pour contrer l'attaque orc, je n'ai jamais revu mes parents, c'est le maitre des voleurs de la valée qui m'a hébergée jusqu'à l'age de 17 ans et je suis devenue sont élève puis vint un beau jour d'hiver ou mon maitre me dit " vas y par par retrouver tes parents ". Arrivée à Forgefer je rencontrai Boruk, Torkk et Elfy qui fesaient partie de la guilde des Loups d'Ironforge dirigée par Benomite un fort gentil nain aimant la bière, et jusqu'à ce jour je fais partie de sa guilde. Ils m'ont aidé à faire mes quetes, mais encore jusqu'à aujourd'hui je cherche mes parents et je compte sur toute la guilde pour m'aider en m'en quete...
Arriver au bois de la pénombre un flash m'apparue je voyai un homme avec un grande cape noir et une capuche sur la téte ,l'homme portait un bébé un tous petit bébé.
Toute secouer par ce flash j'arriva dans le village , la nuit vener de tomber je rentra dans l'auberge pour boire une peinte de biére quand tout a coup l'homme du flash rentra dans l'auberge.Je demanda au tavernier si il le connaisser , il ma repondu que c'était un habituer ,je lui demanda si il avait un enfant le serveur ne savait pas
En allant me coucher l'homme rentra dans ma chambre ,moi en commencant a attraper ma dague il gronia "ce n'est méme pas la peine d'essayer je suis lvl 67"(c'est sur quil ya de la marge entre le lvl 28 et le lvl 67).Je reposa ma dague et je lui dit "aller va y dit moi ce que tu a me dire"il commenca a me raconter quil ya 15 ans tes parent et toi sont venu en vacance ici ,un jour ton pére qui était rester toute la journée a la taverne commenca a vouloir ce battre contre moi dehor un duel debuta ton pére me coupa le doigt ou reposer le bague de ma femme defunte et il me piqua cette bague.Le lendemain pour me venger je suis rentrer dans ta chambre et je te captura pour que ton pére me rende ma bague et je laissa un morceau de parchemin avec écrit le lieux de rencontre.Deux heure plus tard tes parent arriva a l'endroit indiquait.Une battaille commenca ta mére mourra mes pied, ton pére de plus en plus en colére me donna un coup d'épée dans les cote moi fou de rage lanca mon sort le plus puissant que j'avais apri dans mon grimoir et le sort tua ton pére je pris une potion des bléssure grave et je te prenna dans mes bras et tes ramena jusqua la vallée des frigére et j'ensorcela le maitre des voleur pour quil téléve et te raconte que t'ai parent sont parti en terre hordeuse.
L'homme en terminant sont récit disparu dans un nuage de poussiéreet je crilla
"JE TE TURAIS ESPECE DE MONSTRE"

Assommé, étourdi, ce n’est pas l’aube naissante qui me réveille mais la rosée, une rosée brûlante aussi étrange que cela puisse paraître. Un épais brouillard s’élève du lac qu’aucune onde ne ride. Seul le soleil vibre, escaladant l’horizon pour regagner son trône rouge. Rien, aucun son, ou plutôt … si … Celui de la forêt … non, elle semble hors du temps, rien ne bouge ... Celui du vent … non, il ne chante aucune complainte dans les arbres calcines et encore fumants ... Et ces effluves putrides qui m’asphyxient … Mes esprits reviennent, je comprends lentement mais tout devient plus clair maintenant : ce bruit lointain mais néanmoins assourdissant est celui de la milice qui s’éloigne, celle qui vient de ravager note village. Ils m’ont laisse pour mort mais je vis, ou survis du moins. Il me faut maintenant me lever, me relever, comprendre. Je suis jeune, trop jeune pour affronter ce que je dois affronter mais je me dois de le faire. M’appuyant sur mon heaume fracassé lui aussi brûlant, quelques instants me sont nécessaires pour enfin tenir debout : c’est dire la violence de l’assaut subi. Ma vue se trouble mais je distingue la cruelle réalité : ils n’ont épargné personne. Les corps gisent dans une marre de sang, éventrés, broyés, déchiquetés, … Pas un n’a été épargné … Je les connaissais tous sans exception … Mais où est mon père, mon père qui est ma seule famille …

Cette question est aujourd’hui la seule et unique raison de mon combat, celle qui me tient en vie. Et je repense à ce lac, ce lac qui m’a à tout jamais donné la foi, sa foi. Il était tel un miroir dont la violence du monde ne pourra jamais venir à bout. Et je sais qu’un jour je reviendrai y baigner la dépouille de mon père ou tout du moins son âme … Et peut-être alors la vie pourra-t-elle reprendre au pied du grand saule …

Bonjour,

C'est avec émotion et appréhension que je commence ce récit, car il n'est pas dans mes habitudes de me confier facilement. J'ai appris par expérience que donner des informations sur soi aux gens, c'est leur donner un moyen de pression sur vous.. d'ailleurs ne dit on pas au SI:7 : "un interlocuteur de confiance est une personne qui a le pouvoir de vous trahir" ? Voyez donc la confiance que je vous porte en partageant mon histoire avec vous.

Je suis un elfe de la nuit, d'environ 25 cycles à présent. Comme vous le savez, la tradition chez les elfes veut que les enfants soient pris en charge la plupart du temps par le clergé d'Elune. Ils sont donc surprotégés et profitent de leurs vingts premiers cycles pour apprécier la Nature et communier avec elle. Les plus doués d'entre eux, ceux qui montrent une affinité évidente avec les éléments vitaux, finiront prêtre, ou druide. Ils assurent la relation entre le peuple des Elfes, et la Nature, personifiée par Elune. Ceux qui ne sont pas jugés dignes sont plus ou moins abandonnés à leur sort et s'orientent généralement vers des professions plus physiques, telles que les guerriers, qui combattent pour la gloire d'Elune, ou les chasseurs, qui régulent les excès de la Nature. Enfin, ceux dont l'âme est empreinte de davantage de noirceur, que les remords atteignent peu voire pas du tout, ceux-là usent de leurs aptitudes naturelles à la furtivité pour s'accomplir dans les métiers de l'ombre.. voleurs, assassins, espions.. Vous vous en doutez, je suis de ceux là.

Mon enfance importe peu, tous les elfes ont la même, isolés du monde. Mon existence.. du moins devrais-je dire sa première partie, commence dans les hautes forêts au sommet de Teldrassil, le nouvel Arbre-Monde, planté après le sacrifice d'Yggdrasil, lors de la bataille du Mont Hyjal contre les troupes de la Légion. C'est là que j'ai été Eveillé. Cette partie de la vie d'un elfe ne doit pas sortir des connaissances des Elfes, et vous m'excuserez donc de ne pas vous en parler. Sachez seulement que contrairement à nombre de jeunes elfes je n'ai pas mené une vie de débauche, de celle qui donnent une si mauvaise image de la jeunessse elfienne. C'est donc dans ces terres, tout en faisant mon apprentissage de la vie, que j'ai rencontré une elfette guerrière, proche de ma condition donc, avec laquelle j'ai passé un certain temps. J'avais de grands projets en sa compagnie.

En parallèle, une gnomette démoniste nommée Dowe m'avait intégré dans la guilde du Clan des Deux Astres.. je ne saurais jamais pourquoi sans doute.. pitié, amusement, envie sincère de m'aider ? peu importe. Ces gens m'ont bien accueilli, et ont tous été très aimables avec moi. Mon naturel solitaire ainsi que mes capacités réduites à cette époque ne m'ont malheureusement pas permis de les voir très souvent..

La fin abrupte de mon idylle avec cette elfette m'a plongé dans une période de marasme intense, pendant laquelle plus rien n'avait d'importance. J'ai fait durant cette période des choses qui resteront sans doute scellées à jamais dans ma mémoire, permettez moi de ne pas m'étendre sur ce sujet. On peut néanmoins dire que çela aura forgé une partie de mon caractère. C'est à cette époque que le SI:7 m'a approché pour m'enseigner les bases de ce que je sais maintenant.

La fin de ma déchéance est due à ma rencontre avec Aryelle que vous connaissez tous, aux alentours des fêtes du Grand-Père Hiver. De nombreuses choses nous opposent a priori, car elle est prêtrese, représentante d'Elune, un modèle de pureté en ce monde, là où je vis de rapines, embuscades, meutres de sang froid, et exploitation des faiblesses des différents peuples d'Azeroth et de Kalimdor... De longues discussions, des soirées à patiner au Berceau de l'Hiver, et quelques fêtes jusqu'à tard dans la nuit (suffisamment tard pour qu'on ne soit plus que deux, en vérité) nous ont rapproché contre toute attente. C'est elle qui a décidé de franchir le pas suivant dans notre relation. Je le dis sans honte et l'en remercie, je n'en avais pas la force et n'osais pas y croire tant nos univers différaient. Elune seule sait de quel avenir j'ai été préservé grâce à elle. Je ne peux qu'espèrer que les choses dureront, voire grandiront, et bien que je sache que parfois elle se pose des questions, je ne suis pas Elfe à abandonner ou délaisser ma compagne.

Récemment, lors d'un déplacement à Ironforge, capitale souterraine des fiers nains des montagnes de Dun Morogh, nous avons été abordés par un druide nommé Elfyssio, qui a su convaincre Aryelle, alors sans appartenance, de rejoindre la guilde des Loups d'Ironforge. Comme nous nous croisons régulièrement, j'ai fait la connaissance de certains de ses membres les plus influents au fil des semaines.. Torkk le nain paladin bout-en-train, Benomite le chef nain paladin, Elfyssio, la sagesse et la maitrise de soi incarnées en un druide de renom, Boruk, le guerrier.. De fil en aiguille, et afin de pallier au manque d'activité de ma propre guilde, j'ai fini par rejoindre les Loups à mon tour. Cela présente plusieurs avantages, dont notamment une entraide forte, une ambiance très bon enfant, et le plus important, je peux voir Aryelle plus souvent, et nous avons davantage d'occasions de travailler ensemble. Au moins cette guilde ne s'arrête pas aux préjugés et aux réputations, et ne craint pas d'avoir quelqu'un comme moi dans ses rangs.

J'attends beaucoup de cette nouvelle situation, mais seule Elune sait ce que l'avenir réserve. Longue vie à cette guilde, première à me donner envie de m'investir et qui donne un sens au mot fidélité.

C'etait mon histoire, celle de l'elfe DrFollet. Peu d'entre vous la liront surement mais peu importe. Les ombres sont mes amies, quand je disparaitrai, victime de mon métier probablement, il ne restera que cet écrit.

Je me nomme Cahl.

Mes parents étaient ingénieurs à Gnomeregan et souhaitaient me voir évoluer dans cette direction. Malheureusement il s'est averé que j'étais plus doué pour les armes que pour les bricoler. Ainsi mon père m'a dit:

-Fils, même si j'aurais préféré que tu deviennes ingénieur, il se trouve que tu n'es pas très doué. Peut-être est-ce une erreur de notre part d'avoir voulu te forcer à rentrer dans une voie qui n'est pas la tienne. Choisis ta voie et sache que ta mère et moi seront toujours fiers de toi!

Ainsi je suis devenu garde de paix de Gnomeregan.
Ainsi je vecus de longues années heureux, aimé de sa famille mais aussi d'une gnomette que je rencontrai plus tard et qui devint ma femme.

Puis le jour fatidique arriva: alors que je m’apprêtais à partir au boulot ma femme m'annonça qu'elle attendait un enfant. Alors je partai de mon foyer heureux, sans douter un instant de ce qui allait arriver ce même jour.


Je me souviens encore de ce jour : mes frères d'armes tombaient un par un à mes cotés, au fur et à mesure que la bataille faisait rage nous nous rendions compte que jamais nous pourrions protéger notre chère ville. La chose que nous pouvions faire était de retarder les assaillants pour permette aux survivants de fuir.

Depuis ce jour où j'ai perdu ma chère Gnomeregan et mon seul amour j'ai perdu toute raison de vivre et je plongeais mon chagrin dans l'alcool.

Quatre ans plus tard alors que je me trouvais à l'auberge de l'agneau assassiné entrain de boire un verre, je croisai une démoniste prenommée Kasagh. Elle me parla et me dit:
-Seuls les lâches abandonnent. On ne peut gagner toutes les batailles mais sache que si tu es encore en vie tu peux encore combattre.

Aprèes quelques parlades j'ai decidé d'arrêter de boire et de reprendre les armes. Elle me guida vers une amie mage à elle denommée Haltaya et me dit:
- Elle m'a sauvée alors que mon coeur était noir de haine, suis la et apprends.

Cette démoniste avait raison, dame Haltaya a le pouvoir de sauver le coeur des gens. Ainsi je me suis juré de reprendre les armes et de devenir encore plus fort afin de protéger toutes les femmes d'Azeroth en souvenir de ma femme, et en hommage à dame Kasagh et dame Haltaya qui m'ont sauvé.

HRP: Pourquoi les background sont important?

1. On est sur un serveur jdr (ca fait une bonne raison non? )
2. C'est toujours sympa de lire des histoires permettant de connaitre le passé des personnages que l'on joue
3. Ca me permet d'envisager des événements rp en fonction de vos background. Le premier événement, pour ceux qui n'ont pas tout suivis , est basé sur mon personnage.
Par la suite j'envisage (ce n'est encore qu'une idée qui émerge de mon cerveau en folie ) de faire un événement basé sur le rp de benomite ou demonisia. Pour l'un une histoire basé sur la recherche des armes, bijoux,...de son père et pour l'autre de retrouver l'assassin de ses parents. Bah oui je vous l'avais dit ce n'est encore qu'une idée dans ma tete, vous vous attendiez a un roman?

Donc voilà pourquoi vos background sont important. Merci de votre attention, vous pouvez allez jouer. Moi je continue a me battre avec mon cerveau en folie

HRP aussi !

Bonjour monsieur RP, si t'as besoin d'un bout de cerveau fou supplémentaire pour écrire tes scénars.. bah, tu sais où me trouver

HRP: Ah mais faut pas hésiter si tu as des idées aucun soucis, plus il y a de fou plus c'est drole

Je n'ai pas le monopole des événements rp, j'encourrage tout le monde a en faire et je serais là pour aider si vous le voulez.

NOTA: Monsieur RP c'est mieux

mais.. j'ai bien écrit monsieur voyons ;p

bon et puis euh, on va stopper le HRP là =)

Sviatopolk, comme à son heure habituel, se préparais un majestueux goûter…et oui, sans son goûter comment pourrais t’il attendre le repas du soir…inconcevable se disait-il ! Que de fruits, gâteaux et de boissons diverses à sa porter. Sviatopolk sentie qu’il avait de la crème sur sa joue et s’empressa tel un worg affamé de l’enlever afin de le porter à sa bouche. Aussi étrange qu’il en soit, quand il l’enleva cela ne changea rien, il l’a sentie toujours sur sa joue et pire encore ça commençais à prendre tout le reste de son visage. Affoler, il s’essuya énergiquement mais rien n’a faire, elle était toujours là et prenais de l’ampleur ! Tel un hystérique, il courra partout dans l’exodar afin de trouver de l’aide pour lui enlever cet crème dessert mais elle avait déjà recouvert ses yeux. Gesticulant dans tout les sens il sentie que quelque chose le giflait. Sviatopolk ouvris les yeux sans peine, le visage plein de bave…il ne comprenait rien. Il était allongé dans l’herbe et non dans l’exodar. Tournant légèrement la tête vers un bruit étrange à coté de lui il eu une vision d’horreur !! Une bête immense avec des centaines de tentacules (enfin pas si immense comme il le verrais plus tard car elle n’est pas plus haute que la hauteur de ses genoux). Complètement effrayé et désorienté il s’enfuit sans voir où il se dirigeait et percuta un autre draeneï. Après avoir sauté au cou de ce dernier, de lui avoir parler de crème dessert possédé par le démon et de tout autre folie que l’esprit tordue de sviatopolk pouvait imaginer, on lui expliqua qu’il était un rescapé de la chute de l’exodar et qu’il avait rêver l’histoire de la crème. C’est alors que le rêve de sviatopolk est encore sujet de plaisanterie parmi les draeneï.

Contrains de trouver une vocation pour aider son peuple…et oui on lui avait dit que manger n’en était pas une…sviatopolk étant de nature peureux à l’esprit simple décida de suivre la voix des prêtres pensant qu’il n’aurait jamais à aller en combat. Malheureusement, on lui demanda de parcourir le monde afin d’apporter ses soins à leurs nouveaux alliés. Certains prétendent qu’il fut envoyer loin de l’exodar afin d’éviter une pénurie des vivres, mais bon ce n’est qu’une rumeur.

Comment un tel peureux peut il encore survivre en combat me diriez vous ? C’est en quelque sort grâce à une rencontre dans les territoires enneigés des nains. Sviatopolk était complètement perdue…ah oui j’oubliais, il a un sens de l’orientation si incroyable qu’il n’arrive jamais là ou il veux, même si on lui indique le chemin. Donc perdue comme à son habitude, il entendit quelque chose grogner...c’était un yéti !! Il se dit que peut être en restant immobile le monstre ne le verrais pas (mais où a-t-il entendu qu’une créature ne vous voyais que si vous bougiez ??). Manque de chance ça n’avait pas l’air de fonctionner sur le yéti ! Il ne restais plus qu’une chose a faire…se rappelant les enseignements des prêtres il commença une prière, sortie son arme et…il pris ses jambes à son cou ! Hurlant à la mort, pleurant de toutes ses larmes, sviatopolk faisait encore là une preuve de son incroyable courage. Le yéti s’approchais de plus en plus mais tout à coup il vit au loin une silhouette. Etais ce un autre yéti ? Ca n’en avait pas l’air. Il ne distinguait qu’une forme sombre car le soleil lui faisait face. Il cru voir une forme d’ailes sur cet étranger. Serais ce l’homme chauve souris appelé Batman ?? Ah non ça c’était encore une chose imaginé par l’esprit de sviatopolk. Mais non c’était un nain qui venait à son secours !! D’un seul coup ce dernier mis fin à la vie de ce yéti. Sviatopolk pris le nain dans ses bras tellement il était heureux d’avoir été sauver. Suffoquant sous la pression du draeneï le nain gesticula dans tout les sens et réussis avec difficulté à s’extirper de ce gros nounours. C’est alors que le nain se présenta sous le nom de benomite et lui offris une bonne bière naine afin de se réchauffer. Plus il en prenais plus il semblais avoir moins peur…il avait enfin trouver un moyen d’aller au combat sans avoir peur ! On appel ça aussi de l’inconscience mais bon. Au moment ou le nain commença à partir sviatopolk le suivi avec un grand sourire. S’arrêtant le nain lui dit au revoir et repris son chemin mais rien n’y fait, il continua a le suivre. Il compris très vite qu’a moins de l’assommé ce dernier ne le lâcherais plus. Il décida alors de l’inviter parmi les siens dans la guilde des loups d’iron forge.

e n'ai pas connu mon père alcolique, ni ma mère drogué. A ma connaissance, je n'ai ni frère, ni soeur.
Tout mon passé est dans ce seul ouvrage que le frère Biascann m'a transmis à son départ.

Je ne sais comment j'ai aboutit a l'orphelinat de Stormwind, ni a quelques années près quel est mon age. Ma vie commence là-bas, dans la pauvreté, avec la cathédrale de Storwind pour principale animation.

Tous les jours, aider frère Biascann a entretenir les lieux. Regarder ces prêtres immobiles, figés, comme attirés par une lumière invisible. Se levant tout d'un coup, pour porter secours a un être en piteux état, sanguinolant, probablement blessé au cours d'une bataille mémorable.

Tout au long de mon enfance, frère Biascann a veillé sur moi. M'enseignant la foi, l'humilité, l'aide aux démunis,... toutes ces valeurs qui aujourd'hui se trouvent ancrées au plus profond de moi.

La violence, il me l'a aussi enseignée, le jour ou la Horde a saccagé la ville d'Auberdine. Nous étions en "voyage" dans cette lointaine contrée, pour y rencontrer un représentant du peuple Elfe. A peine débarqués de notre embarcation, nous fumes assaillis par ces être immondes qui sans retenue, on décimé toute âme vivante. Frère Biascann sitôt débarqué, voyant le danger, me propulsa dans l'embarcation qui repartait. Montant tout en haut de l'embarcation, j'ai pu voir le massacre. Perdu dans ce navire, ma seule famille s'éloignant, j'ai plongé dans l'eau pour rejoindre mon frère. Au fur et a mesure de mes brasses, le spectacle se faisait plus clair, et plus horrible. Le sang coulait du ponton, et l'eau quelques instants auparavant si bleue, devenait violette. L'odeur du sang, les cris inhumains des orcs s'éloignant résonnaient dans les environs.

Me hissant sur le ponton, j'ai trouvé parmis les agonisants mon frère. Une large plaie au cou laissait s'échapper le peu de vie qu'il lui restait. J'ai lu dans ses yeux le désespoir : la paix n'est pas de ce monde semblait-t-il dire.
Il m'agrippa la main et la posa sur son ouvrage qu'il conservait toujours avec lui. "prends le". Il s'est éteint. Le temps s'est arrété.

Je suis resté de longs moments, prostré la main sur son reccueil. La garde d'Auberdine arriva. Je fus conduit a l'auberge où l'on recceuilla mon témoignage. L'aubergiste me proposa de repartir au plus tôt vers Stormwind. En attendant un bateau, je restais de longues heures au bord de l'eau. Contemplant le ponton, les dernières images de frère Biascann troublant mon apparente quiétude.

Je ne pus rentrer le jour même. Une grève du syndicat des marins pécheurs d'Auberdine imposait un blocus complet. Epuisé, l'aubergiste me proposa une chambre. je m'endormis rapidement.

Je fus réveillé au milieu de la nuit par une présence. Quelqu'un était là ! on m'observait ! Dans l'obscurité, je ne distinguais pas grand chose. Scrutant la pénombre du mieux que je pouvais, je fus soudain assailli par une onde de tranquilité. J'étais calme. Une voix pénétra mon esprit. Frère Biascann !

"liiltouch, détruis le livre. J'étais dans l'erreur."

Je demandais mentalement des explications : "Etes vous vivant ? ou etes vous ? Qu'est-ce que ce livre ?" Je n'eu pas le temps d'organiser mes questions, un mutisme s'imposa a moi. Frère Biascann repris : "liiltouch, détruis le livre. Cela n'est pas ta voie. Détruis le."

Puis plus rien. La présence avait disparu. Je restais seul dans le noir, incapable de discerner si cette expérience relevait du rêve ou de la réalité. Allumant une bougie, je contemplais désormais le livre, sans oser le toucher.

Ne pouvant me résigner à détruire le seul souvenir tangible de frère Biascann, je décidais de conserver le livre. Il l'avait bien conservé lui ! Par prudence, j'enveloppais cependant soigneusement le livre, en me prométtant de ne le réouvrir que "le moment venu".

De retour a Stormwind, le père supérieur demanda a me voire dès mon arrivée. Rentrant dans son bureau, il contemplait de sa fenêtre la rue. Sans même se retourner, il m'ordonna de fermer la porte et m'asseoir.

- "As-tu le livre ?"
Que dire ? rien. Ne rien dire.
- "Tu l'as. L'as-tu ouvert ?"
- "Non."
- "Tu ne dois pas le lire... en tous cas, pas maintenant. Son contenu est plus important que tout ce que tu peux imaginer. Je pourrais le moment venu t'accompagner dans sa lecture."

Se tournant lentement vers moi, son visage mélait à la fois la sévérité et la tendresse.

- "Est-ce un livre ... magique ?" demandais-je.
- "Non."

Après un long moment de silence, semblant Passer du coq à l'âne, le père supérieur me demanda :

- "liiltouch, le temps est venu pour toi de choisir ta voie. Tu as les capacités mentales pour devenir Prêtre. Le regretté frère Biascann pressentait de grandes choses pour toi. Je dois te l'avouer, je ne partage pas son jugement. Tu as du mal a canaliser ta force, et je sens que les récents événements t'ont profondément déstabilisé ..."
- "Les Orcs sont inhumains ! Ils ont pillé Auberdine ! Ils ont massacré la population ! Comment pouvons nous cohabiter avec le mal incarné ? Nous devons tous les exterminer !"

M'imposant le silence d'un simple regard, le père supérieur repris calmement.

- "...plus que je ne le pensais ... tu es perdu pour devenir prêtre. S'il te reste un peu de foi, tu peux probablement devenir Paladin..."
- "Paladin ? qu'est-ce que c'est ?"
- "Le Paladin utilise sa force pour combattre le mal. Il puise sa force dans sa foi. Il est au service des autres. Il ne combat jamais par plaisir. Il est pur ... et doit le rester !"
- "Je veux être Paladin ! je veux venger frère Biascann !"
- "Tu ne comprends pas liiltouch. la vengeance n'est pas un sentiment que le Paladin peut éprouver."

Fermant les yeux, il sembla prier. Probablement demander un conseil auprès de l'au delà.

- "Je sens en toi une grande force. Mais tu es trop jeune pour la maîtriser. Viens, suis moi."

Je suivis le père supérieur, qui me conduisit auprès du Seigneur Grayson Shadowbreaker dans la cathédrale.

- " Gray, je te présente liiltouch. Il a je pense, tout d'un futur Paladin, mais nécessite une formation ... adaptée."
- " Confies le moi ..."

Ainsi débuta mon avenir.

Les cinq années qui suivirent furent consacrées à "renforcer ma foi" comme le disait quotidiennement le seigneur Grayson. Prière, services, prières, services, prières, ...

Puis vint le jour tant attendu, ou mon entrainement militaire débuta. La première leçon de maniement de l'épée débuta par ... une prière !
J'aprenais vite. Je devins rapidement un des meilleurs combattants. Lors des messes imposées, je cachais dans mon livre de prières mes notes de combat, et les apprenais soigneusement au lieu de réciter mes prières.

Cinq autres années s'écoulèrent avant que je sois officiellement nommé Paladin.

J'avais profondément changé, mais conservais intact le souvenir de la Horde massacrant Auberdine.

D'un large sourire, le père supérieur m'aborda un jour.

- "Ah ! liiltouch notre prêtre perdu ... mais pas pour tout le monde ! Gray m'a relaté tes prouesses... As-tu déjà reçu ta première affectation ?"
- "Les Maleterres de l'ouest. Il semble que le mal y soit trop présent."
- "Bien, bien ... tu rendras ainsi un fier service a l'Aube d'Argent. Au fait ... as-tu toujours le livre ?"
Son large sourire s'était éteint. Une onde d'inquiétude traversa son visage, mal caché par un sourire forcé.
- "Oui."
- "N'oublies pas. Viens me voire lorsque tu voudras le lire."
- "Je n'oublie pas."

Ma dernière nuit à Stormwind fut mouvementée. J'ai plusieurs fois pris le livre en main, prêt à l'ouvrir. Mais une voix intérieure m'imposait de le garder fermer. Je peinais a trouver le sommeil, hanté par ce livre au contenu si mystérieux. Afin de ne pas céder à la tentation de plus en plus intense, je décidais de le cacher, et partir sans lui ... Loin de moi.

Bien le bonjour nobles chevaliers, jme présente ....... (Non je ne m'appelle pas Henri, mais Syrion).
Je suis né a Hurlevent ecienement Stormwind ( SW ), fils d'un garde de la ville et d'une mère prétrèce , ma voix était déjà toute tracer , je suis donc devenu Paladin .

Tout petit j'entras donc a la cathédrale de sw coté ouest ... l'est c'est les prêtres je m'était tromper l'ors de mon premier jour (la tête des autres quand il m'ont vu arriver avec ma masse a deux mais ....) bref, je suis donc devenu paladin les cours se passaient passer bien, j'avais de bonnes notes, enfin tout du moins avant de rencontré mon nouvo pote de chambré, un Nain ..... Oui oui vrai de vrai, forcément les chopines coulaient a flot le soir et les grand chef paladin n'aimais pas sa.

Une fois mon apprentissage fini je parti faire ma vie a droite, a gauche toujours aider par Tornado ..... (Mon cheval .... cadeau de fin d'étude pour tout les paladins), quand j'ai été r'appeler d'urgence par ma mère. Le Roi de Stormwind avais disparu , et mon père était parti a sa recherche, je me suis donc mis a mon tour a la recherche de mon père.

Les gens pensent de moi que je ne suis qu un dragueur toujours le nez fourré sous les jupons et a me recoiffer sans arrêt ............ ce n'es pas si faux que sa, je suis un paladin et la classe cela se cultive (a ce sujet je suis actuellement a la recherche de ma brosse a cheveux toutes personne ayant des renseignements a me donner la dessus seras récompenser).

J'ai lié amitié avec deux personnages bien étrange rencontré lors de mes voyages , une gnomette du nom d'Hataya , mage de son état , et un guerrier du nom D'Aristoth son seul défaut est d'être Elfe .... personne n’est parfait.

Pour l'instant mon but est de retrouver mon père porté disparu et d'aider les gens dans le besoin sur mon passage, (désoler a vous mes demoiselles mais la place est prise depuis un bon bout de temps déjà et j'espert qu elle va le rester longtemps) !

Salutations, je suis un druide issu d'un famille de jardinier, mon pere est Kel'drasil, il a aider a fonder "l'arbre", hehe, j'ai quand meme de la chance, mais par contre ma mere est une pretresse qui a sucomber lors d'un attaque contre Illidan, et puis mon pere apres cette terrible epreuve est partit rejoin Illidan pour lui "regler" son compte mais avec un contrôl mental et un pacte avec cette imonde creatur ils ont decider de ce lié ensemble pour tuer, moi je me suis retrouver tous seul a l'âge de 6 ans j'ai donc apris a me debrouiller et je suis parti pour Forgefer ou j'ai rencontrer une famille Nain qui m'on adopter, hehe, ça aussi c'est assez rare, et vers l'âge de 14 ans je suis parti pour Darnassus pour commencer ma formation de Druide et j'en suis sorti elite hehe, quel'que années plus tard j'ai rencontrer une jeune Gnome qui m'a inviter a rejoindre ca confrérie!!

Je suis Morpheuss fils de Haron et de Anaëlle. Mon pére était forgeron et ma mére serveuse à l'auberge du Phoenix Sacré.
Je suis né dans un petit village de la forêt d'Elwynn près de Hurlevent.
Mes parents sont mort assassinés par des pillards quand j'avais 10 ans.
J'ai été ensuite recueillie par Frère Christopher à Hurlevent qui a fait mon éducation et qui m'a montré la voie de la lumière
Ensuite j'ai fait mes classes pour devenir Paladin... à 17 ans je quitte Hurlevent et je pars à l'aventure.

Depuis je parcours Kalimdor et les royaumes de l'est parfois accompagné d'une charmante mage qui se prénomme Shinoobu.




Après être resté un long moment un loup solitaire j'ai eu l'honneur de rencontrer un nain capable, De courir vite, et de voyager loin.
Dans son épopée formidable, Je le suivais, une bière à la main..."


Et c'est là que j'ai eu l'honneur de rejoindre la célèbre guilde des Loups d'Ironforge.

Voilà c'est moi, Haltaya.

Je suis gnome, mage, enfin magette...
Nous sommes uen famille de sorciers, ma soeur est démoniste, mon autre soeur est guerriere, rien a voir avec la magie mais bref, nous sommes 3 à etre partie à l'aventure, sur une fraterie de 4, oui, j'ai une autre petite soeur. Chacune a choisi sa propre voix.

Bref, je vais essayer de faire court pour le début de l'histoire. Je suis allée à l'école de magie, comme tous les mages de mon village...

ah voui, j'oubliais, ma maman travaille chez un enchanteur de notre village, Boulonville, et mon papa en est le chef... passons.

Moi mon truc, se sont les fleurs et les animaux bizarres, comme les élek, les centaures, les grands chAviAls au long coup que j'ai vu dans les tarides, et meme que je fais des dessisn d'eux!

Mon scientifique préféré c'est Archimède Minibus, il a écrit de grands ouvrages sur tous ces animaux étranges, les tiRGues, etc...

Voici comment je suis redevenu mage. Oui oui, redevenu. Voici ma vrai histoire...

Sur la longue route de la défense de notre monde, j'ai rencontré un elfe du nom de Habigo, avec qui je me suis marié, j'étais jeune, trop peut etre, et je n'avais pas mesurée les conséquences de tout cela. J'étais également entourée d'amis précieux, et la meilleure de cette période, la plus grande de mes amis c'était Kasagh, une démoniste humaine. Je l'ai aidé a sortir de sa phobie. elle tuait tout le temps les zentils n'écureuils de darnassus -ce qui lui a valu d'etre bani de cet ile.

Le conseil elfe désapprouva mon mariage avec Habigo et de leur coté, les mages prirent peur de mon amitié avec kasagh, la mage noir, la démoniste.

Notre mariage fut annulé car un elfe ne peux pas épousé une mage, peu importe la race.
La magie les a déjà conduit à leur perte en détruisant l'arbre monde. elle devait etre bani, et moi avec.

Partagé entre l'élu de mon coeur et la magie qui est en moi, ce don que j'ai, mes convictions du départ peu à peu s'estomperent : étais je prete à arreter là magie pour un elfe? On décida à ma place.

Merlin avait rétorqué le jour de ce fameux conseil qui avait réuni elfe et gnome: " je sens que votre magie blanche disparait peu a peu, vous vous tournez vers le coté obscure de la magie (luc je suis ton père!)"

Alors au lieu de me faire passer au cercle 50, merlin le grand me recalla au cercle 1, sans me demandé mon avis. Par un sortilège puissant qu'il me lança, je me retrouvis en guenilles, dans le froid, à moitier amnésique de ma vie passée, j'avais perdu tous mes pouvoirs et mes vetements, même mon mécanotrotteur. la colère du conseil m'avait tout pris.

Humblement j'ai repris ma formation, je n'ai jamais retrouvé mon mari, mais j'ai toujours espoire de le revoir.

Durant cette période difficile je n'ai pu compter que sur peu de personne de mon entourage, kasagh, mon amie de toujours, Aristoth, Syrion, et Bénomite qui m'a acceuilli avec mes compagnons de route dans la grande famille des loups d'ironforge.

Les choses ont faut qu'aujourd'hui c'est lui mon chef alors qu'avant les roles étaient inversés. Je me sens bien au milieu de tous les loups d'ironforge, meme que je suis chef des mages!

voilà j'arrete de vous racontez mon histoire ici... la suite se construit maintenant.

C'est prés de notre belle capitale que je suis né (Ironforge) dans une ferme ou il faisait bon vivre, mon pere étant écuyer, nous nous occupions des montures des nobles passant la et quelquefois de celles d'étrangers et marchands; maissurtout, nous suivions la voie de la lumière de notre maître de l'époque un descendant des Magellas un des notables de la guilde des explorateurs...
et puis il y a eu cette mission...

Je me souviens qu'en vu du "voyage" notre maître et mon père m'apprirent les bases du combat et de la reconnaissance de la flore pour se repérer en toutes circonstances, puis nous partîmes...
Ces $<£$^m!$ d'orcs nous ont tendus une embuscade et tandis que nous croulions sous le poid de nos assaillants "il" arriva, (...) mais un peu tard...
mon père était mort et nous ne pouvions rien y faire.*tremblant*

Sire Benomite car c'était lui notre sauveur ( un jeune paladin en devenir a l'époque) ; il me prit sous son aile à la capitale pendant quelque temps tandis que j'étais suivis par les pretres (a cause de la folie qui m'avait prise a cause du choc...bref) je nourissais une curiosité sur leurs soins et les enchantements qu'ils produisaient. Puis j'ai fais quelques missions en collaboration avec Benomite me reccomandant par la suite au roi Magni Bronzebeard, et ma voie de paladin naquit alors, et peu aprés mon entré a la guilde des Loups d'Ironforge paraissait logique vu l'engouement que j'avait a défendre la justice et a donner la lumière!

Terkaêl paladin de cercle 59 au moment de la connaissance de son histoire.

Fille d'un humble couturier et d'une humble alchimiste de Brill, rien ne me predestiné a devenir une aventuriere et encore moins une demoniste.

Je vecue une enfance heureuse jusqu'a ce jour fatidique où le fleau attaqua lorderan! Ma mere sucomba a la peste et devint une des soldat du fléau quand a mon pere il s'est sacrifié pour me permettre de me sauver des griffes de ce qu'etait devenue sa femme.

Ainsi devenue orpheline, je erra durant quelques années a proximité des ruines de lorderan, me cachant du fleau et me nourrissant de la chair putride des quelques animaux encore en vie.

Tres vite les reprouvées apparurent et construiserent Undercity. Je me suis a les espionnée en particulier les demonistes. je pus apprendre en les observant a manier la magie noir, magie alimenté par ma haine pour le fleau, mon desepoir et ma soif de destruction.

Mais un jour alors que les reprouvés m'avait reperer et me pourchassé je fut sauver par un groupe d'aventurier d'alcoolique notoire qui passait par la et qui se faisait appeler les bons vivants (ma premiere guilde). Grace a eux et a d'autre amis que j'ai pu rencontrer durant mes aventures telle que wacan, lyude, zyrhim sans oublier celle qui m'a toujours soutenue Haltaya, mon coeur reappris a aimer.

Ainsi partager entre mon amour pour mes amis et la vie et ma haine pour le fleau et les reprouvés mon coeur aujourd'hui balance entre le bien et le mal.

Mon plus grand reve: tuer le roi Liche et Sergeras le destructeur de monde (rien a foutre d'Illidan).

Le soleil brille sur ces terres brulés par le fléau, mais par cette belle journée qui s'annonce, l'ombre plane au dessus de nos tete.

En se rapprochant on peux sentir le mal s'intensifier. Un peu plus près, nous distingons des etres courant en tout sens... la bataille fait rage.
Une dizaine d'Orcs Rochenoire se démènent contre un petit être qui saute pour esquiver les differentes attaques des monstres.
Celui-ci est en fait un Gnome du nom de Mörgoth (certain vont le reconnaitre).
Il se concentre et, sans prevenir, lance un sort pour glacer ses enemis et enchaine avec une nova de feu pour se debarasser des Orcs qui l'entouraient.

Soudain une ombre recouvra le champ de bataille. Les quelques survivants s'enfuyèrent en laissant leurs camarades étant moins en forme sur place.
Mörgoth leva la tête et decouvra un spectacle stupéfiant ...
Un chevaucheur de dragon était là, au dessus, majestueusement installé sur sa monture rugissante.
Le petit mage, sans prendre le temps de réfléchir, envoya sa plus puissante boule de feu qui alla directement s'ecraser sur le Drake. Cette attaque n'eu malheureusement aucun effet sur la terrible bete.

Le temps semblait suspendu et les secondes devenaient interminables. Tout à coup, le chevaucheur, d'un geste de la main, donna l'ordre au dragon d'attaquer. Il s'executa et cracha une gigantesque boule de feu vers Mörgoth. Celui-ci etait completement desemparé, mais ...

Une sonnerie se fit entendre, un réveil !! et la boule de feu s'ecrasa avec fracas au dessus de ma tête. J'ouvris les yeux et je m'aperçus assez rapidement que tout ceci était le fruit de mon imagination. A un détail pres ...
La boule de feu avait bien frappé le mur derriere moi. Je compris tout de suite en m'approchant de la fenetre.

Une Gnome à couettes roses courrait dans tous les sens. C'étaot cette petite peste d'Haltaya, celle ci meme que le chef de notre village m'avait demandé de suivre dans "ses aventures" et la proteger, tout ça dans le but de parfaire mon instruction. Pretexte !!!!

Toutes les péripeties qui suivantes nous menèrent chez les Loups d'Ironforge. La suite vous la connaissez... un chef alcoolique, des Paladins en masse, etc ...

Apré plusieur jour dibernage la petite gnomette retrouve lenvie de ce battre et darréter de boire des biére et de manger toute la journée des cote de sanglier donc la gnomette enfile sa tenu de conbat et revien en terre d'azeroth




A SUIVRE